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L’Unicef recherche un consultant national en connaissance de la ressource en eau au Burkina Faso

L’Unicef recherche un consultant national en connaissance de la ressource en eau au Burkina Faso

Publié : 

Categories : Avis de recrutement

Domaines : Eau - Hygiène - Assainissement - Hydraulique

Regions : Burkina Faso

L’Unicef recherche un consultant national en connaissance de la ressource en eau au Burkina Faso

 

 

Job no : 548833

Contract type : Consultancy

Duty Station : Ouagadougou

Level : Consultancy

Location : Burkina Faso

Categories : WASH (Water, Sanitation and Hygiene)

 

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TERMES DE REFERENCE POUR LE RECRUTEMENT D’UN CONSULTANT NATIONAL EN CONNAISSANCE DE LA RESSOURCE EN EAU AU BURKINA FASO

 

Contexte :

Pays sahélien situé au cœur de l’Afrique de l’Ouest, le Burkina Faso est soumis depuis plusieurs décennies à une diversité d’aléas climatiques qui, exacerbés par certaines conditions naturelles (géologique, hydrogéologique et géomorphologique), ne favorisent pas une bonne disponibilité des ressources en eau. Les ressources en eau du pays sont très dépendantes des précipitations qui sont soumises à la variabilité climatique et aux effets des changements climatiques. Cette situation a pour corollaire une répartition spatio-temporelle de la ressource de manière très inégale sur l’ensemble du territoire burkinabè et une faible disponibilité de l’eau par habitant.

L’eau souterraine qui constitue, dans la majeure partie du pays, la principale source d’eau pour les divers usages, en particulier l’approvisionnement en eau potable (AEP) des populations, est généralement difficile à mobiliser. Constitué en grande partie (80%) de socle caractérisé par des aquifères de type fissuré et discontinu, le pays enregistre un taux d’échec de forages élevé (30 % pour les débits faibles et 50 % pour les débits supérieurs à 5 m3/h.). En plus de la complexité du système aquifère, ces taux d’échec sont également dus, dans une certaine mesure, aux méthodes de recherche d’eau souterraine. En définitive, ces taux d’échec élevés ne sont pas de nature à favoriser la réponse à la demande en eau des populations qui est corrélée à la croissance démographique galopante – taux de croissance de la population de 2,9 % (RGPH 2019).

Au Burkina Faso, selon le rapport du JMP (2021), seulement 47% de la population a accès à au moins un service de base en eau potable en 2020. Ce sont, par conséquent, des millions de personnes qui demeurent sans accès à une eau potable dans les zones urbaines et rurales du pays. Ce taux d’accès relativement faible dénote d’un déficit structurel dont les causes sont multiples, allant du contexte naturel du pays aux causes socio-économiques. Ces dernières années, les différentes crises que subissent le pays ont contribué à exacerber la situation de précarité de l’accès à l’eau potable, notamment dans les zones les plus impactées.

Cette situation est aussi aggravée par une menace importante sur la qualité de la ressource en eau souterraine du fait de plusieurs facteurs tels que la nature des roches elle-même (acide, Arsénic, fer, etc.), la minéralisation due à une forte évaporation, les activités humaines telles que l’agriculture (pesticides), les extractions minières (métaux lourds – cyanures, cuivre, Aluminium, Arsénic, etc.) et les activités industrielles (rejets non traités).

Depuis plusieurs années, le Burkina Faso, à l’instar des autres pays du sahel, est aux prises d’une crise sécuritaire sans précédent, avec des attaques terroristes qui ont impacté négativement la vie de plusieurs communautés et a entrainé des déplacements internes des populations. Le nombre de déplacés internes a augmenté de manière substantielle depuis le début de la crise, passant de 47 000 déplacés en fin décembre 2018 à plus de 1.5 millions en fin 2021. Certaines régions telles que le Centre-Nord, le Sahel, le Nord, l’Est, la Boucle du Mouhoun, le Centre-Est sont particulièrement affectées par cette crise sécuritaire et l’exode interne s’y fait plus prégnant. Ces arrivées massives ont eu pour conséquences d’exercer davantage de pression sur les services sociaux de base dont les services d’eau potable qui connaissaient déjà une situation de fragilité structurelle dans ces localités et villes d’accueil. Dans les communes touchées comme celle de Barsalogho, elles ont même eu pour conséquence une diminution des taux d’accès à l’eau de près de 20 %.

En outre, le Burkina Faso subit à l’instar de tous les pays la crise sanitaire due à la pandémie de la Covid-19. Si la crise sécuritaire à un impact différent d’une zone à une autre, la crise sanitaire quant à elle a un impact global, car elle affecte ou est susceptible d’affecter toutes les populations quel que soit leurs zones de résidence. La crise sanitaire à également accru les besoins en eau potable des populations notamment les besoins en eau pour le lavage des mains, recommandé par l’organisation mondiale de la santé (OMS) comme l’un des moyens efficaces pour lutter contre la pandémie.

La situation de précarité de l’accès à l’eau potable des populations revêt donc des causes profondes et plurielles, structurelles et conjoncturelles : les conditions naturelles peu propices au stockage et à la mobilisation de l’eau conjuguée aux effets des changements climatiques, la méconnaissance même de la ressource en eau souterraine qui constitue la source première d’approvisionnement, les conditions socio-économiques qui influencent les investissements dans les ouvrages et infrastructures, les crises sécuritaires et sanitaires qui sont des facteurs aggravant de cette situation de fragilité. Le Burkina Faso dans ce contexte fait face à une situation qui appelle à la fois des solutions urgentes et des solutions de développement qui doivent être mises en œuvre de manière à résoudre durablement les problèmes d’accès à l’eau potable des populations, soit une prise en compte du nexus urgence-développement.

Conscient de cette situation précaire d’une part et fort de son ambition de répondre durablement aux besoins en eau potable des populations ainsi que des autres usages de l’eau d’autre part surtout dans un contexte humanitaire particulier, le gouvernement Burkinabè a renouvelé son intérêt pour le sous-secteur dans son Plan National de Développement Economique et Social 2021-2025 (PNDES II) avec des axes prioritaires bien définis, notamment : l’amélioration de la connaissance des ressources en eau, l’augmentation de la mobilisation et de la valorisation des ressources en eau à travers notamment le développement d’ouvrages d’adduction d’eau potable multi-villages, l’amélioration de la protection des ressources en eau et la gestion intégrée des ressources en eau.

Avec l’appui de ses partenaires au développement, le Gouvernement a mis en œuvre divers projets et programmes qui ont abouti à des résultats aussi bien en matière d’urgence que de développement en vue d’améliorer l’accès à l’eau potable et faire de l’accès universel une réalité au Burkina Faso. Malgré les efforts et les ressources mis en œuvre, les populations sans accès demeurent encore nombreuses. Aussi, le Gouvernement et ses partenaires ont engagé des actions afin de consolider les acquis de projets et programmes passés d’une part et, de mieux intégrer les approches d’urgence et humanitaires et les approches de développement pour répondre durablement aux besoins en matière d’accès à l’eau potable dans le contexte actuel d’autre part.

C’est dans ce contexte que s’inscrit la présente intervention. En effet, fort du constat de l’importance des ressources en eau souterraine et des problèmes aussi bien structurels que conjoncturels qui maintiennent les populations dans une situation de précarité en matière d’accès à l’eau potable pour les besoins domestiques mais aussi pour les autres usages, l’UNICEF prévoit s’investir davantage pour l’amélioration de la connaissance et de la mobilisation des ressources en eau souterraine, d’où la nécessité de la présente consultation.

 

Justification :

Au regard du contexte national de manière générale et en particulier de la problématique liée à l’exploitation des ressources en eau souterraine, l’UNICEF voudrait entreprendre des actions concrètes pour contribuer efficacement à un accès équitable et inclusif à l’eau potable et à une meilleure gestion de ces ressources dans une logique nexus urgence-développement, notamment dans les zones les plus impactées par les crises. Pour cela, il a initié cette consultation qui devra aider à mieux analyser et cerner la situation dans l’optique d’identifier les défis à relever et proposer les actions à mener pour mieux connaître et mobiliser la ressource en eau en vue d’améliorer l’accès à l’eau potable des populations.

Les présents termes de références sont élaborés en vue du recrutement d’un consultant qui s’attèlera donc à identifier et à définir les actions que l’UNICEF intègrera dans son programme en cours.

 

Objectif de la consultance :

 Le consultant est chargé d’appuyer l’UNICEF pour identifier les potentielles contraintes qui retardent les progrès en matière d’approvisionnement en eau des populations et à proposer des actions qui vont contribuer à les résorber.

Il s’agira de manière spécifique à :

  • Analyser la situation des eaux souterraines du pays pour en ressortir les problèmes liés à leur exploitation et leur gestion ; un focus sera mis sur les zones d’accès difficile à la ressource eau
  • Identifier les défis majeurs à relever et les leviers clé à promouvoir pour contribuer à l’amélioration de l’accès à l’eau potable et de la gestion de la ressource ;
  • Identifier les actions à mener par l’UNICEF pour accompagner le gouvernement à atteindre un accès équitable et inclusif à l’eau et proposer un plan d’action ;
  • Proposer un plan de mise en œuvre concret de ces actions prioritaires, en fournissant des détails sur les types d’activités (upstream/downstream), les priorités géographiques, les modalités de mise en œuvre y inclus les modalités de partenariat, ainsi qu’une estimation des couts et identification des expertises et ressources clés nécessaires au sein de l’équipe WASH UNICEF pour conduire à bien ces actions.

 

Description des tâches du consultant :

Les principales tâches à mener par l’expert sont décrites ci-dessous :

Tâche 1 : Diagnostic de la situation des ressources en eau souterraine et de leurs usages

Le consultant doit partir d’une bonne connaissance des problématiques actuelles liées à l’exploitation des eaux souterraines pour les différents usages (méconnaissance des zones productives, faible taux de mobilisation/ taux d’échec de forage élevé, impact des changements climatiques, risques de pollutions diverses, pression grandissante liée entre autres aux déplacements massifs des populations etc.), pour identifier les principaux axes dans lesquels l’UNICEF pourrait s’engager.

Pour ce faire, il se basera sur les résultats des études antérieures et les projets en cours pour apprécier le niveau de connaissance actuelle dans ce domaine. Cela passera par la collecte de données/ informations documentaires et des concertations avec les acteurs intervenant dans ces domaines (structures de l’Etat, structures d’enseignement et de recherche, projets et programmes, structures privées, etc.) afin de faire l’état des acquis actuels et identifier les défis majeurs à relever. Des études de synthèse ont été réalisées à l’échelle nationale[1] et dans certaines localités[2] permettant de disposer d’une base intéressante qui pourrait être complétée pour cette analyse. Il ne s’agira pas de décrire les connaissances actuelles mais plutôt d’analyser la situation de l’existant, les acquis actuels sur chacun des points suivants pour en tirer les contraintes et les défis majeurs. Il s’agit de :

  • L’état de connaissance de la géologie et de l’hydrogéologie (localisation des potentiels aquifères et leurs caractéristiques) sur l’ensemble du pays ;
  • L’état de connaissance de la disponibilité de la ressource (réserves en eau disponible, renouvellement de la ressource, etc.) et la compréhension de son évolution dans le temps en particulier sous l’effet des changements climatiques ;
  • L’état du suivi de la quantité et de la qualité de la ressource en eau (réseaux de suivi disponible et leur état, outils disponibles pour le suivi, efficacité du suivi en relation avec les besoins de connaissance de la ressource) ;
  • La situation des usages actuelles (domestique, agricole, élevage, industriel, etc.) des eaux souterraines et des risques de conflits d’usage ;
  • Les difficultés actuelles de mobilisation de la ressource en lien avec les méthodes/techniques de recherche d’eau utilisées et les moyens d’exhaure. Il faudra recenser les méthodes de prospection hydrogéologiques jusque-là utilisées, juger de leur efficacité et pertinence selon les différents contextes hydrogéologiques ;
  • L’état actuel de la connaissance de la qualité des eaux souterraines (zones avec présence de pollution naturelle, localisation des zones vulnérables à la pollution, etc.) ;
  • L‘état de mise en œuvre de la gestion intégrée des ressources en eau pour préserver leur quantité et leur qualité, assurer un accès équitable à l’eau pour les divers usages et prévenir les conflits d’usages.

Le consultant portera une appréciation sur l’état des connaissances actuelles, les principaux acquis et ressortir les défis majeurs à relever ainsi que les leviers clé d’actions afin de contribuer efficacement à l’amélioration de l’accès à l’eau potable pour les divers usages et à la gestion de la ressource. Le consultant entreprendra cette analyse en distinguant les zones par catégorie selon le niveau d’impact des crises, notamment la crise sécuritaire avec les PDI.

Tâche 2 : Définition des axes prioritaires d’intervention de l’UNICEF au Burkina en matière d’eau souterraine :

Pour définir ces axes prioritaires, le consultant devra faire la situation des priorités actuelles en matière d’eau au Burkina définies dans ses documents stratégiques tels que le PNDES, la politique nationale en matière d’eau qui est mise en œuvre à travers les programmes nationaux tels que le Programme National d’Approvisionnement en Eau potable (PN-AEP), le PN-GIRE, le PAEA. Ces priorités seront mises en relation avec l’analyse des défis et leviers clé d’actions (voir tâche 1) et les objectifs et priorités de l’UNICEF en matière d’eau afin de dégager les axes d’intervention sur lesquelles l’UNICEF pourrait s’engager pour appuyer le gouvernement. Tout cela devra être traité en prenant en compte le contexte national décrit plus haut et en particulier la situation humanitaire actuelle qui impose une synergie d’actions entre les acteurs intervenant dans le développement et dans l’humanitaire pour plus d’efficacité.

Les axes prioritaires devront viser entre autres (i) l’amélioration de la mobilisation des ressources en eau de manière générale et plus particulièrement dans les zones humanitaires (amélioration des techniques de recherche d’eau, amélioration du taux de succès des forages, accès à des forages à gros débit), (ii) l’amélioration de la résilience des populations aux impacts des changements climatiques, (iii) la gestion pour la durabilité de la ressource et (iiii) la qualité de l’eau

 Tâche 3 : Elaboration d’un plan d’action :

A partir des axes prioritaires d’intervention définis au point précédent, il s’agira de proposer des actions qui seront intégrées dans le programme en cours ainsi que le futur programme de l’UNICEF. Ces actions devront permettre d’apporter un appui conséquent à l’atteinte des objectifs du gouvernement en matière d’accès à l’eau et de gestion durable des ressources en eau.

Les difficultés auxquelles se sont heurtées les actions passées ou en cours notamment le contexte hydrogéologique complexe, les difficultés d’implantation des forages à gros débit pour faire face à la forte demande en eau, la diminution des débits ou l’assèchement de certains points d’eau devront permettre de mieux cibler ces actions. En outre, l’accroissement rapide des populations dans des zones précises impose la mise en œuvre d’actions adéquates et urgentes pour faire face à cette situation. Elle nécessite entre autres la remise en cause à des méthodes de recherche d’eau qui se sont révélées peu efficaces dans certains contextes afin de trouver et mettre en œuvre d’autres méthodes qui permettront d’assurer un accès à l’eau potable aux populations même dans les zones difficiles. Au droit de ce problème, partant des limites identifiées à partir du diagnostic des méthodes de prospection hydrogéologiques, selon les différents contextes, le consultant proposera des méthodes alternatives à prendre en compte dans les actions à mettre en œuvre à travers des actions pilotes.

L’élaboration du plan d’actions comportera entre autres :

  • La proposition des actions à mener dans le cadre du programme en cours ou futur de l’UNICEF ;
  • L’évaluation financière des activités proposées ;
  • La planification des actions sur les prochaines années (à définir).

Le consultant proposera un plan de mise en œuvre concret de ces actions prioritaires en fournissant des détails sur les types d’activités (upstream/downstream), une description de leur contenu technique et une évaluation de leur durée d’exécution. Il définira les priorités géographiques pour les différentes activités proposées, les expertises clés nécessaires à mobiliser pour la mise en œuvre y compris celles à mobiliser au sein de l’équipe WASH UNICEF pour conduire à bien ces actions. S’inspirant du cadre institutionnel actuel du sous-secteur de l’eau et des domaines de compétence des structures présentes au Burkina ou dans la sous-région œuvrant dans le domaine des actions prévues, le consultant proposera les acteurs qui vont contribuer à la mise en œuvre des actions et définira le rôle de chacun. Il proposera également les modalités de partenariat avec les principaux acteurs de mise en œuvre identifiés.

 

Qualifications et compétences :

Le consultant devra fournir les informations indiquant qu’il est qualifié pour la mission, notamment :

  • Justifier d’un diplôme d’études supérieures (BAC+5) en géologie, en hydrogéologie ou en tout autre domaine pertinent ;
  • Justifier d’une expérience confirmée dans le domaine des études et de la recherche sur les eaux souterraines avec au moins 10 ans d’expérience dans le domaine ;
  • Avoir une bonne connaissance du contexte hydrogéologique du Burkina Faso ;
  • Justifier d’une expérience dans la formulation de projet ou programme ;
  • Avoir de bonnes capacités de rédaction ;
  • Avoir la maitrise du français et une bonne connaissance de l’anglais.

 

Composition des offres :

Le consultant souhaitant soumissionner au présent appel d’offre devra fournir une offre comportant les éléments ci-dessous :

Une offre technique comprenant :

  • La présentation du consultant y compris le CV détaillé ;
  • La compréhension de la mission ;
  • La méthodologie proposée pour la conduite de la mission ;
  • Le plan détaillé de réalisation de la mission ;
  • Tout autre élément jugé nécessaire.

Une offre financière détaillée en FCFA

Le consultant devra présenter une proposition financière incluant tous les coûts liés à cette consultance (Honoraires, Frais de Communication, frais de mission de terrain et autres frais).

 

Les documents administratifs :

Le consultant doit fournir les documents suivants avant de signer le contrat :

  • 1 certificat médical de bonne santé ;
  • 1 preuve d’assurance maladie pour la durée de la consultance ;
  • 1 formulaire « Vendor » dûment rempli et signé ;
  • 1 relevé d’identité bancaire ;
  • 1 exemplaire du certificat de formation en ligne “BSAFE » ;
  • 1 exemplaire du certificat de formation en ligne “Prévention du harcèlement sexuel et abus d’autorité » ;
  • 1 exemplaire du certificat de formation en ligne « prévention de l’exploitation et des abus sexuels (LEFP) » ;
  • 1 exemplaire du certificat de formation en ligne « éthique et intégrité à l’UNICEF » ;
  • 1 autorisation de son employeur l’autorisant à effectuer cette consultance s’il est fonctionnaire du gouvernement Burkinabè.

Le site www.agora.unicef.org permet de retrouver les quatre formations et recevoir un certificat

Date du début de la consultance : 01 avril 2022.

Date de fin de la consultance : 30 Septembre 2022.

L’UNICEF s’engage à promouvoir la diversité et l’inclusion au sein de son personnel et encourage tous les candidats, quels que soient leur sexe, leur nationalité, leur religion et leur origine ethnique, y compris les personnes handicapées, à poser leur candidature pour faire partie de l’organisation.

L’UNICEF a une politique de tolérance zéro en matière d’exploitation et d’abus sexuels, et de tout type de harcèlement, y compris le harcèlement sexuel, et de discrimination.

Tous les candidats sélectionnés feront donc l’objet d’une vérification rigoureuse de leurs références et de leurs antécédents.

Les personnes engagées dans le cadre d’un contrat de consultant ne seront pas considérées comme des « membres du personnel » en vertu du Règlement et des Règles du personnel des Nations Unies et des politiques et procédures de l’UNICEF, et n’auront pas droit aux prestations qui y sont versées (comme les droits au congé et la couverture d’assurance médicale). Leurs conditions de service seront régies par leur contrat et les conditions générales des contrats pour les services des consultants et des entrepreneurs individuels. Les consultants individuels sont responsables de déterminer leurs obligations fiscales et le paiement de toute taxe et/ou taxe, conformément aux lois locales ou autres lois applicables.

[1] Exemple : Amélioration de la Connaissance et de la Gestion des Eaux Au Burkina Faso, Rapport diagnostic sur les Eaux Souterraines, Banque mondiale, juin 2017

[2] Exemple : Développement de synthèse des connaissances géologiques et hydrogéologique de la zone Nord et Est du Burkina Faso, Rapport finale, Groupe Sectoriel WASH Urgence au Burkina, octobre 2021

 

Deadline : 15 Mar 2022 Greenwich Standard Time.

 

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